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Avant son départ pour le Maroc il était l'élève de Si Abderrahmane El-Meddah, Cheikh El - Hadra de Sidi Abderrahmane Ethâalibi. Mais déjà sur la scène artistique, on avait outre Cheikh Kouider Bensmaïl qui jouait au def dans un orchestre composé seulement de deux flûtistes, le Cheikh Mustapha Driouche, qui dirigeait un orchestre composé entre autres de Hassen El-Kerraï au violon et de Hadj Abdelkader qui aurait été le premier cithariste algérien. Ayant enrichi son répertoire grâce aux poésies de Mohamed Bensmaïl, père de Cheikh Kouider, il forma dans les années 20, plusieurs orchestres essentiellement composés d'instruments à corde au rythme du tambourin . A cette époque la darbouka y est exclue et ne fut introduite de manière "officielle'' qu'à partir de 1926, après la mort de Nador, par son jeune élève M'Hamed El-Anka. Son "concurent" de l'époque était cheikh Saîd Derres. Il mourut à Cherchell le 19 mai 1926. Sources : "Dictionnaire des musiciens et interprétes algeriens" de Achour CHEURFI © Tous droits réservés 2000 Mahfoud |